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Röyksopp – The Inevitable End

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Röyksopp. Sûrement mon groupe préféré. Sûrement le groupe qui a le plus été auteur de la “bande son de ma vie”. Paradoxalement, sans voir passer un tweet de Frédéric, je n’aurais peut être même pas su qu’ils sortaient leur nouvel album The Inevitable End.

Röyksopp j’ai découvert sur le tard, en 2005-2006. Enfin on m’a fait découvrir. C’est rattaché à des souvenirs, bons comme plus tristes. D’où ce côté “bande son”. Le genre de trucs que tu ne peux t’empêcher d’écouter sans te rappeler les cheveux au vent en voiture sur une route en Italie, les larmes versées, seul dans ton lit. Bref. Moins symbolique que Queen qui a bercé mon enfance, Royksopp garde un truc magique chez moi. Le type de groupe qui n’a jamais réussi à me décevoir avec ses productions.

Depuis quelques jours il est possible de profiter de leur dernière création, l’album The Inevitable End, dispo dans toutes les bonnes crémeries (la mienne c’est spotify donc.. ici).

Le titre m’a fait marrer. Un peu comme de lire les prévisions liées à un signe astrologique.. : on les lit soit en début de journée et on vit ce qu’on a lu.. ou en fin de journée .. revisite sa journée, dictée par la lecture. Bref je ne sais pas pourquoi mais j’ai trouvé dans ce titre à plusieurs niveaux.. un bon titre pour un paragraphe ou chapitre de vie. blablabla. Ne vous inquiétez pas c’est compliqué là dedans.

L’album compte tout de même 17 morceaux et pas des plus courts. Ca commence fort avec Skulls, ça enchaine magnifiquement avec un morceau sur lequel on peut entendre la voix si marquée de Robyn. Un coup de guitare électrique déchirée, on se laiss envahir et porter. Le style Royksopp est unique. Immanquable presque. Et rarement imité. 17 morceaux d’une triste beauté.

Un des rares trucs écoutés ces derniers jours qui m’a fait me lever pour aller chercher un casque* et en profiter à fond..

en attendant de pouvoir m’acheter ça, les enceintes et la maison qui vont avec

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