BaseCamp (à ne pas confondre avec BarCamp) vous connaissez ?
C’est un excellent outil de gestion de projet en ligne édité par 37signals.
Le petit souci : ça coûte au minimum 12 dollars par mois si vous voulez gérer plus d’un projet à la fois ( parce que bon en général si vous avez besoin de ce genre d’outils c’est que vous gérez plus qu’un truc 😛 )….
Vous avez vu passer il y a quelques temps des billets (d’ailleurs je viens d’en voir un sur Presse-Citron) sur l’outil de Vectorisation (on prend une image normale et on en fait des vecteurs) mis en place par l’université de Stanford…. il se trouve que j’ai eu besoin de vectoriser le logo de Decathlon il y a peu donc je me suis dit “hop retour d’expérience”.
Problème : je devais utiliser le logo de Décathlon pour un dossier et un Keynote…. le logo dispo sur le net étant comme ça :
Le fonctionnement est assez simple : j’ai importé mon GIF source, qui pixelisait si on zoomait dessus et devenait inutiisable pour une grande taille. L’assistant pose quelques question sur l’image originale afin d’optimiser la vectorisation.
A la fin de la vectorisation on peut télécharger le résultat dans plusieurs formats dont le PNG et l’EPS. Celui permettant la plus grande taille est l’EPS puisque c’est le format des fichiers Adobe Illustrator (entre autres, Adobe Illustrator générant des .ai).
Voici ce que donne (j’ai coupé l’image sur la largeur) une sortie en PNG :
Comme vous pouvez le voir ça marche plutôt bien (sachant que j’ai fait ça à la vite).
Et bien sûr, on peut zoomer à l’infini sur le fichier EPS sans qu’aucun pixel ne vienne troubler la fête.
Pour ceux qui veulent essayer, c’est par ici
Vous connaissez SpongeStats ? C’est un outil de statistiques développé par deux français, Bastien Bobe et Samy Rabih.
La version 3.0 est disponible depuis ce matin et après l’avoir testée (page de démo ici), j’ai bien envie de l’adopter 🙂
Interface claire, simple et en AJAX présentant les données de façon vraiment propre : c’est le point fort de SpongeStats. Le point faible est qu’il me semble manquer la gestion multisites.
Petit truc extra pour les accros aux stats : les auteurs ont prévu de développer des widgets iGoogle & NetVibes !
La page du projet sur SourceForge se trouve ici – si quelqu’un essaye , faites moi par de vos retours je ne peux pas l’installer à l’école à cause du FTP.
Romain, spécialiste des articles de fond (le contraire de moi en gros), nous a “pondu” une première partie d’approche sur la popularité des blogs et sa mesure.
Comme le contenu est intéressant, que je n’aime pas me contenter d’un copier-coller, je vais tout simplement vous inciter à vous rendre sur son billet et à y apporter vos réflexions / critiques / suggestions.
En partant de sa réflexion on pourrait même voir pour élaborer un algorithme de calcul 🙂 Géant !
Là, ça fait drôle : je blogue à propos de WLW depuis..le logiciel lui-même
Comme je vous l’avais dit en Janvier, je blogue essentiellement depuis Windows Live Writer. Ce matin en faisant un tour de mes flux RSS , je me suis rendu compte sur le blog officiel que la Beta 2 était dispo !
Hop, ni une ni deux, je télécharge, je mets à jour mon installation.
Premier constat : l’interface a été revue, le design également. En résulte une meilleur ergonomie et ça ne fait pas de mal.
Second constat : les fonctions existantes ont été améliorées et d’autres ont été ajoutées :
Tout ça c’est vraiment pratique, avec une interface revue et corrigée, une synchronisation automatique du contenu local et distant, support de 6 langues
Mais que demander de plus si ce n’est le support sur Mac ? 🙂
PS : Francis, j’espère que ça répond à ta question : j’utilise Windows Live Writer
PS 2: A télécharger ici
Suite à la demande de Lomig, voici un petit avis sur Windows Live Writer et également sur sa façon de gérer les tags.
Depuis que j’ai installé cet outil, je dois dire que je n’utilise quasiment plus que ça.
Pourquoi ?
C’est très simple : cet outil permet de faire de la composition hors-ligne, d’avoir un aperçu de votre post avec le thème de votre site (même sans être connecté)…. d’intégrer des images directement dans les posts et de pas avoir se soucier de l’upload de celles-ci.
A un détail près (les tags sous UTW – Ultimate Tag Warrior- mais cela se corrige), Windows Live Writer s’intègre donc à merveille dans votre environnement. C’est bien la première fois qu’un produit Microsoft est “ouvert” comme cela.
C’est un réel plaisir d’écrire dans ce logiciel et il est rare que je parle en bien de ce que fait Microsoft car d’habitude, on a le droit à des systèmes restreints ou sans inter-opérabilité.
Concernant les tags
Comme toute personne utilisant WordPress, vous vous devez d’utiliser Ultimate Tag Warrior pour gérer vos tags dans votre blog. C’est jusqu’à ce jour le système le plus complet et le plus efficace, sans être très simpel, qui soit.
Il vous permet entre autres de générer les très fashion “nuages de tags” (moi je ne me suis pas embêté : j’en ai fait une liste énorme).
Le léger problème est que les tags générés avec l’aide d’UTW sont stockés dans un champ additionnel de votre base de données et ne sont pas nativement supportés par Windows Live Writer.
Qu’importe : une petite recherche Google vous amène sur une page expliquant de façon fantastique comment palier à ce problème en moins de deux minutes.
