J’aime le mot “choses”. hmm miam on en mangerait.
Dans le train une rencontre inattendue. “excusez-moi , ce train va bien à Boulogne?” .. “oui mademoiselle”.. (j’abrège) “hey mais tu ne serais pas Gonzague?” (oups) “si pourquoi?” … “on était à l’école ensemble” (double oups).
Elle me rappelle son prénom, de toute façon je n’avais pas oublié son visage. Me resitue où elle en est… et m’explique sa présence dans le train : mademoiselle revient de Genève où réside son fiancé. Ah. Bon vingt et un ans. Fiancée. Faudra que je me fasse à l’idée de voir surgir ça autour de moi : étant enfant je m’étais promis de jamais me marier (quel con ^^). Sûrement parce que ça faisait trop “comme les autres”. Bref, elle revient de la Suisse, 8 heures de train et je me plains encore de mes deux heures de voyage !
Hancock me divertit pendant une partie du voyage : le film est moins nul que le début ne laissait à penser et la fin contient un petit “twist” inattendu dans le scénario , c’est déjà ça. Puis plongeon dans un bouquin, j’attends des nouvelles de quelqu’un mais les nouvelles n’arrivent pas. Dans l’expectative je scrute l’écran du téléphone. Enervé par mon comportement impatient, je finis par l’éteindre puis le rallumer. Genre… dix minutes après.
Bon. Après deux heures une minute de TGV plus tard, me voilà arrivé à Boulogne sur Mer.