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la vie

Retour au bercail et diverses choses

J’aime le mot “choses”. hmm miam on en mangerait.

Dans le train une rencontre inattendue. “excusez-moi , ce train va bien à Boulogne?” .. “oui mademoiselle”.. (j’abrège) “hey mais tu ne serais pas Gonzague?” (oups) “si pourquoi?” … “on était à l’école ensemble” (double oups).

Elle me rappelle son prénom, de toute façon je n’avais pas oublié son visage. Me resitue où elle en est… et m’explique sa présence dans le train : mademoiselle revient de Genève où réside son fiancé. Ah. Bon vingt et un ans. Fiancée. Faudra que je me fasse à l’idée de voir surgir ça autour de moi : étant enfant je m’étais promis de jamais me marier (quel con ^^). Sûrement parce que ça faisait trop “comme les autres”. Bref, elle revient de la Suisse, 8 heures de train et je me plains encore de mes deux heures de voyage !

Hancock me divertit pendant une partie du voyage : le film est moins nul que le début ne laissait à penser et la fin contient un petit “twist” inattendu dans le scénario , c’est déjà ça. Puis plongeon dans un bouquin, j’attends des nouvelles de quelqu’un mais les nouvelles n’arrivent pas. Dans l’expectative je scrute l’écran du téléphone. Enervé par mon comportement impatient, je finis par l’éteindre puis le rallumer. Genre… dix minutes après.

Bon. Après deux heures une minute de TGV plus tard, me voilà arrivé à Boulogne sur Mer.

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le bazar

Je te la colle là, l’étiquette

Drôle ou débile en fait je ne sais pas trop 🙂

Je viens de repasser rapidement 40 pages d’archives de ce blog. mon blog.

putain de mot. j’ai envie de dire “site” ou “journal” tant l’étiquette blog a une consonance négative parfois.

40 pages qui contiennent pas mal de “moi je” , de “j’ai fait ci”, “j’ai fait ça”. mais que je ne regrette pas, tant pour l’exercice de la narration que pour l’amusement que me procure la rédaction de mes bêtises dans un style (oh le grand mot) que je qualifie de décalé.

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la vie

picnics du jeudi, je t’aime. Enfin je vous aime !

Ah.. je sors de l’immeuble il se met à pleuvoir.

“merde c’est mal parti”. direction station vélib. c’est comme une évidence malgré le temps : ça me fait bouger un peu plus que le métro. quelques tours de roue(s) plus tard, me voilà dans le coin.

plein de monde est déjà là , je vois quelqu’un qui court vers moi en criant “gonzaaaaaaaague”. Ah c’est Mathilde 🙂

Quel talent…

notre présence ne perturbe pas un étrange bonhomme , dont le look aurait presque plu à embruns (ah je suis passé devant un bar de bears d’ailleurs … :d ) :